New mortgage rules pushing 1st-time homebuyers to wait.

WAITINGA year after Finance Minister Jim Flaherty tightened mortgage rules to not allow insured mortgages with amortization terms of more than 25 years, many prospective buyers say they are waiting longer to buy their first home.

About 19 per cent said they would wait longer to buy, a survey by Pollara for BMO Bank of Montreal showed.

In June 2012, Flaherty laid out rules aimed at reining in a hot housing market and ensuring Canadians aren’t taking on more debt than they can afford. The rules went into effect July 9, 2012.

First-time homebuyers were expected to be the most affected by the new rules, which included reducing the maximum amortization period for a government-insured mortgage from 30 to 25 years, and also dropping the upper limit that Canadians could borrow against their home equity from 85 per cent to 80 per cent.

CONTINUE READING : http://www.cbc.ca/

Canadian mortgage rates on the rise

croissanceSome of Canada’s major banks are starting to raise mortgage rates. RBC, Scotia Bank and TD have all increased some of their mortgage rates in the last month and RBC announced a second hike last week.

Everyone breathe.

For RBC, the four-year closed-rate mortgage is moving up 10 basis points to 3.39 per cent, five-year increase by 20 basis points to 3.6 per cernt, the seven-year by 20 basis points to 3.99 per cent, the 10-year is moving up by 30 basis points to 4.29 per cent.

When mortgage rates increase, homeowners, or those ready to buy, are often fearful, with reason.

However, it’s not all bad. Hopefully, we can get a little bit of perspective on the recent rise in Canadian mortgage rates.

These are still really good rates

In November 2008, the monthly average mortgage rate for a conventional five-year mortgage in Canada was 7 per cent. Since the 2008 crash, we’ve been a bit spoiled with artificially low mortgage rates. A five-year closed rate of 3.69 per cent is still low, historically speaking.

Rising mortgage rates are a double-edged sword

Rising mortgage rates are a signal of a stabilizing economy in North America, which we’ve all been rooting for since 2008. A stabilizing economy means increases in employment, incomes and hopefully stock markets. These are good things that should help families offset the effect of mortgage hikes.

These are very small hikes

The largest increase announced is 30 basis points on the RBC 10-year closed mortgage. That’s three tenths of a percent. We aren’t talking full percentage swings over night. Small rises in mortgage rates can be a signal of upward trends, but at least they give home owners time to speak with their mortgage specialist and lock down a rate that allows them to sleep at night.

Most mortgage rates are set by banks

Mortgage rates are set by each individual bank, based on supply and demand. Banks who have not yet raised rates may hold off on a rate increase to see how their competitor’s decisions plays out.

How to survive a mortgage rate hike

  1. Purchase a home you can afford, even when rates rise. The bigger your mortgage, the more effected you are.
  2. Aim to have a 20 per cent down payment to ensure that you’re not over leveraged.
  3. Start paying down consumer debt to free up additional cash flow for your household.
  4. Sit down with a mortgage specialist and ask for a rate hold, which you can always cancel if you need to or lock in a historically low rate.

SOURCE : http://globalnews.ca/

La prochaine taxe scolaire pourrait être salée

Commission_scolaireL’abolition d’une mesure gouvernementale temporaire entraînera une augmentation du compte de taxe scolaire pour une majorité de contribuables québécois au cours des trois prochaines années.

Par exemple, la hausse sera, en moyenne, de 120 $ dès juillet pour le territoire desservi par la Commission scolaire de la Seigneurie-des-Mille-Îles, soit les Basses-Laurentides. Seules une commission scolaire située à Québec, une autre située dans les Laurentides et celles situées sur l’île de Montréal ne sont pas touchées par cette hausse.

Que se passe-t-il? L’automne dernier, la fin d’un programme temporaire de « péréquation additionnelle » mis en place en 2006 a été annoncée lors du dépôt du premier budget du gouvernement péquiste. Ce programme s’apparentait à un cadeau aux contribuables.

Un calcul complexe

Remontons le temps. Jusqu’en 2007, la taxe scolaire s’ajustait à la valeur foncière des propriétés. Puis a eu lieu le boom immobilier dans la couronne montréalaise. Depuis, les villes connaissent un développement rapide, ainsi qu’une hausse accélérée de la valeur foncière.

Pour aider les familles, le gouvernement libéral de l’époque a modifié les règles du jeu. Le calcul de la taxe scolaire a été établi en fonction de nouveaux critères qui tiennent compte de la hausse de la valeur foncière.

Pour maintenir l’augmentation des taxes scolaires à un niveau raisonnable, une enveloppe de 150 millions de dollars par année a été octroyée aux commissions scolaires. C’est cette subvention, que certains appellent un « rabais fiscal », qui disparaîtra progressivement d’ici trois ans, sous réserve de l’adoption du projet de loi 25 au plus tard le vendredi 14 juin.

Pour faire face à cette situation, les commissions scolaires ont plusieurs options : couper dans les services – « Impossible », clament-elles en chœur – ou refiler la facture au contribuable. Voyez les répercussions de cette décision sur un compte de taxe réel:

Pourquoi abolir ce programme?

Écoutez la réponse de la ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport, Marie Malavoy, questionnée à ce sujet :

Par  Radio-canada.ca

Taux directeur sans modification.

BANKOFCANADA

Le gouverneur sortant Mark Carney n’a apporté aucune modification au taux directeur lors de la dernière annonce de la Banque du Canada. La Banque a affirmé que la « croissance canadienne au premier trimestre a été plus forte que prévu, que les dépenses de consommation devraient progresser à une cadence modérée, que les investissements des entreprises devraient croître solidement et que l’inflation devrait demeurer faible ». La Banque a également fait remarquer que « la croissance de l’ensemble des crédits aux ménages ralentit ».

Comme elle l’a annoncé auparavant, la Banque a indiqué que nos faibles taux historiques « demeureront probablement appropriés pendant un certain temps » en raison de la faiblesse continue de l’économie, mais a laissé entendre que toute modification des taux future serait probablement une augmentation modeste.

Le taux préférentiel de la plupart des prêteurs devrait demeurer à 3 %, taux en vigueur depuis septembre 2010, soit près de trois ans.

La prochaine décision concernant les taux sera prise par la Banque le 17 juillet.

Les gens qui cherchent à acheter ou à refinancer en verrouillant leur taux devraient profiter des taux fixes qui sont encore à un faible niveau historique !

 

Durées Taux Courants Nos Taux
6 MOIS 4.00% 3.95%
1 AN 3.00% 2.65%
2 ANS 3.04% 2.69%
3 ANS 3.55% 2.65%
4 ANS 4.54% 2.89%
5 ANS 5.14% 2.89%
7 ANS 6.35% 3.49%
10 ANS 6.75% 3.69%

Avertissement – les taux sont sujets à changement. Sur approbation du crédit, sauf erreurs et omissions.

Source : intelligence_hypo

États-Unis: les ventes de maisons à un sommet de trois ans et demi

statisticsLes ventes de maisons déjà habitées aux États-Unis ont augmenté le mois dernier pour atteindre leur niveau le plus élevé en trois ans et demi, aidées par un bond dans le nombre de maisons à vendre.

La National Association of Realtors, l’organisation américaine des agents immobiliers, a indiqué mercredi que les ventes de maisons ont augmenté à un taux désaisonnalisé de 4,97 millions, en hausse par rapport à 4,94 millions en mars.

Les ventes de maisons ont bondi de 9,7 pour cent au cours des 12 derniers mois, une preuve que le marché immobilier s’améliore. Les ventes se maintiennent toutefois à peu près au même niveau depuis novembre. L’offre de maisons demeure restreinte et plusieurs acheteurs potentiels ne peuvent pas obtenir de prêts.

Le nombre de maisons à vendre a augmenté de 12 pour cent en avril par rapport à mars, à 2,16 millions. L’inventaire demeure toutefois presque 14 pour cent plus bas qu’il y a un an.

L’augmentation de l’inventaire reflète en partie le début de la saison printanière des ventes. L’offre de maisons à vendre serait épuisé en 5,2 mois au rythme de vente actuel, ce qui est en deçà du niveau typique de six mois.

Plus d’Américains sont intéressés à acheter une maison, selon l’organisme, qui a indiqué que l’affluence des acheteurs a augmenté de 31 pour cent au cours de la dernière année.

L’augmentation de la demande et l’offre restreinte a fait augmenter les prix. Le prix médian d’une maison à vendre a augmenté de 11 pour cent le mois dernier, comparativement à avril 2012, pour atteindre 192 800 $, le prix le plus élevé en presque cinq ans.

Source : http://www.lesaffaires.com