MARCHÉ IMMOBILIER MONTRÉALAIS – 4E TRIMESTRE 2017

VENTES

• L’année 2017 s’est terminée en beauté, avec une augmentation de 9 % des ventes résidentielles (9 572) au quatrième trimestre.
• Au cumul de l’année, 44 448 ventes ont été conclues, soit le deuxième total en importance de l’histoire de la région montréalaise. Il s’agit d’une croissance de 8 % par rapport à 2016 et d’une troisième hausse annuelle consécutive.
• Toutes les catégories de propriétés ont connu une augmentation des ventes en 2017. La copropriété s’est nettement démarquée, grâce à une progression des ventes de 17 %. Les plex de deux à cinq logements et les maisons unifamiliales ont pour leur part affiché des gains de 6 % et de 3 % respectivement à ce chapitre.
• Tous les secteurs géographiques ont vu leurs ventes croître en 2017 : Vaudreuil-Soulanges (+13 %), l’île de Montréal (+11 %), Saint-Jean-sur-Richelieu (+9 %), Laval (+6 %), la Rive-Sud (+5 %) et la Rive-Nord (+4 %).
• Le haut de gamme a connu une année faste, les ventes d’unifamiliales de plus de 1 000 000 $ ayant crû de 20 %, et celles de copropriétés de plus de 500 000 $, de 42 %

Prix médian

• La croissance des prix s’est nettement accélérée en 2017 : l’augmentation du prix médian des unifamiliales (310 000 $) a été de 7 %, alors que de 2013 à 2016, la hausse n’a été que de 2 % par année. Il s’agit de la plus forte hausse de prix en sept ans.
• Du côté de la copropriété, le prix médian a atteint 247 000 $, soit une progression de 3 %. Encore ici, il s’agit d’une accélération par rapport à la hausse de seulement 1 % observée en 2016.
• En ce qui a trait aux plex, dont le prix médian s’est élevé à 476 000 $, l’augmentation est de 4 % en 2017, une croissance identique à celle enregistrée en 2016.

Inscriptions en vigueur

• Pour une deuxième année consécutive, le nombre de propriétés à vendre s’est replié en 2017 : on en dénombrait (27 635) sur le système Centris®, soit une forte diminution de 13 %.
• C’est pour l’unifamiliale que la baisse de l’offre a été la plus marquée : elle était de l’ordre de 17 %, comparativement à des diminutions de 14 % pour le plex et de 9 % pour la copropriété.
• Sur le plan géographique, ce sont les secteurs de Saint-Jean-sur-Richelieu (-18 %) et de l’île de Montréal (-17 %) qui ont accusé les plus fortes baisses.

Conditions du marché

• De manière générale, 2017 se termine dans des conditions du marché nettement à l’avantage des vendeurs pour l’unifamiliale et les plex. La rareté de l’offre d’unifamiliales par rapport à la demande est indéniable sur l’île de Montréal, où le nombre de mois d’inventaire est légèrement inférieur à 5.
• Pour la copropriété, le portrait diffère puisque, globalement, les conditions du marché sont équilibrées. Néanmoins, de plus en plus de secteurs centraux confèrent désormais un avantage aux vendeurs lors de la négociation.

Source : http://www.fciq.ca

Lire le rapport complet : http://www.fciq.ca/pdf/bar/201704-bar-mtl.pdf

English version : http://www.fciq.ca/pdf/bar/201704-bar-mtl-en.pdf

Mai 2017- record de ventes.

La Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM) vient de publier les plus récentes statistiques du marché immobilier résidentiel de la région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal, établies d’après la base de données provinciale Centris® des courtiers immobiliers. Ainsi, 5 057 ventes résidentielles ont été conclues au cours du mois de mai 2017, ce qui représente une augmentation de 15 % par rapport à la même période l’an dernier et un nouveau record pour cette période de l’année.

« Le marché immobilier résidentiel montréalais a connu un mois de mai exceptionnel », souligne Mathieu Cousineau, président du conseil d’administration de la CIGM. « L’activité a surpassé le précédent sommet pour cette période de l’année, qui datait de 2007 », ajoute M. Cousineau.

Statistiques par catégories de propriétés

  • Les ventes de copropriétés ont connu une croissance impressionnante de 24 % en mai à l’échelle de la RMR, avec 1 637 transactions.
  • Le plex (467 transactions) a également enregistré une excellente performance, grâce à un bond des ventes de 19 %.
  • La maison unifamiliale, dont les ventes ont crû de 10 %, demeure néanmoins la catégorie de propriété la plus en demande, alors que 2 950 ventes ont été conclues.

Nombre de propriétés à vendre

Le nombre de propriétés résidentielles inscrites sur le système Centris® des courtiers immobiliers (28 137) a reculé pour un 20e mois consécutif, à hauteur de 15 % par rapport à mai 2016.

Source: CIGM

Montreal Real Estate market – buy now or risk to be late.

The recent article in Montreal Gazette confirm once again what I am constantly saying to my clients : buy now or you will miss your chance. Year after year Montreal home ownership became less and less affordable.

Montreal’s real estate market is about to become a game of musical chairs, and anybody who doesn’t get a seat soon could be left standing, permanently.

An average person with average income can still entertain thoughts of buying a house downtown. The slow but steady increases in prices – two, three, four per cent – can act like the proverbial slowly heating water the frog doesn’t know is about to boil. But if you’re renting now, and figure you’ll buy a house someday when that next promotion comes through or the baby’s born, it might be too late.

All the signs of a market on the brink of unaffordability are there. Worries about a saturated condo market sagging in 2015 turned around sharply in 2016. Montreal registered the lowest unemployment rate in 30 years last December, and immigration levels are skyrocketing, with the first six months of 2016 – the latest figures available – outstripping all of 2015.

And foreign investors are almost certainly already on their way to the next undervalued, untapped real estate market now that Ontario has imposed a 15 per cent tax on foreign buyers in Toronto as B.C. did for Metro Vancouver. More money drives prices up. So does more people. Put them both together in a city with the obvious and perennial attractions of Montreal, and it might spell the end of the affordable house on the island.

By BERT ARCHER, THE MONTREAL GAZETTE

Read full article : http://montrealgazette.com/

Immobilier à Montréal – croissance continue. 3-e trimestre 2016.

La Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM) vient de publier les plus récentes statistiques du marché immobilier résidentiel de la région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal.

Voici les principales statistiques du troisième trimestre de 2016, comparées à celles de la même période en 2015.

Ventes :

  • Graph of housing marketLes 8118 transactions conclues au troisième trimestre représentent un sommet d’activité en sept ans pour cette période de l’année.
  • Les ventes de copropriétés ont bondi de 11 %, soit la croissance la plus importante parmi les trois catégories de propriétés. L’unifamiliale et le plex ont également enregistré de bons résultats au troisième trimestre, ces catégories ayant toutes deux affiché une augmentation de 4 % à ce chapitre.
  • Sur le plan géographique, l’île de Montréal (+8 %), la Rive-Sud (+8 %), la Rive-Nord (+6 %) et Vaudreuil-Soulanges (+4 %) ont toutes connu des hausses d’activité au troisième trimestre. Seul le secteur de Laval (-5 %) a essuyé un repli du nombre de transactions résidentielles.
  • Les ventes de propriétés de 500000 $ et plus, toutes catégories confondues, se sont accrues de 24 % à l’échelle de la RMR comparativement à un an plus tôt.

Prix:

  • Les prix médians des copropriétés (250000 $) et des petits immeubles locatifs (455000 $) ont tous deux progressé de 2 % au troisième trimestre de 2016. Les unifamiliales (304000 $) ont quant à elles affiché une hausse plus soutenue de leur prix médian, à hauteur de 5 %.
  • Pour l’unifamiliale, la plus forte hausse (+5 %) parmi les cinq grands secteurs de la RMR appartient à Laval (304000 $), ex aequo avec l’Île de Montréal (420 000 $).
  • Pour la copropriété, la moitié des unités transigées sur l’île de Montréal se sont vendues à un prix supérieur à 295000 $. Cette augmentation de 4 % sur douze mois est la plus importante dans la région montréalaise au troisième trimestre.

Inscriptions en vigueur:

  • 28490 propriétés affichaient « À vendre » dans la RMR de Montréal de juillet à septembre 2016, soit 12 % de moins qu’à la même période en 2015. Il s’agit d’une quatrième baisse trimestrielle consécutive.

Source : Centris.ca

Avril 2016 – Le marché résidentiel fracasse tous les records

Selon les statistiques publiées aujourd’hui par l’Association canadienne de l’immeuble (ACI), les ventes résidentielles ont grimpé à un sommet inégalé en avril 2016 à l’échelle nationale.

Faits saillants :
• Les ventes résidentielles réalisées à l’échelle nationale ont augmenté de 3,1 % de mars à avril.
• Les ventes réelles (non corrigées des variations saisonnières) ont augmenté de 10,3 % par rapport aux résultats enregistrés en avril 2015.
• Le nombre de maisons nouvellement inscrites a peu changé (-0,2 %) de mars à avril.
• L’Indice des prix des propriétés MLS® (IPP MLS®) a augmenté de 10,3 % d’une année à l’autre en avril.
• Le prix moyen des maisons a haussé de 13,1 % au pays en avril, d’une année à l’autre; si on exclut le Grand Toronto et le Grand Vancouver, le prix moyen a augmenté de 8,7 % d’une année à l’autre.


According to statistics released today by The Canadian Real Estate Association (CREA), national home sales in April 2016 rose to their highest level ever.

Highlights:
• National home sales rose by 3.1% from March to April.
• Actual (not seasonally adjusted) activity was up 10.3% compared to April 2015.
• The number of newly listed homes was little changed (-0.2%) from March to April.
• The MLS® Home Price Index (HPI) rose 10.3% year-over-year in April.
• The national average sale price climbed 13.1% in April from one year ago; net of the Greater Toronto Area and Greater Vancouver, it was up by 8.7% year-over-year.

Source: YouTube