Forecast for growth in property prices in Montreal in 2022.

In 2021, prices continued to rise both in Montreal and beyond in remote small towns. The issue of housing affordability has become critical in the Montreal region, especially for young families looking to buy their own home. Those who did not want to leave Montreal had to buy condos and 2-plexes to start at least somewhere and stop paying “someone else’s mortgage” for rental housing.

Selling for prices above the starting price is no longer surprising. As a result, more than 50% of real estate was sold for more than the initial price. Those who bought a house, condo or 2-plex 5 years ago are in a fortunate position and can afford to move on by selling their homes and buying the best.

But what about those who did not buy real estate 5 years ago and are desperately watching the rise in prices, realizing that they have to pay twice as much today? So, buy or wait?

Prices in Montreal are already near their highs, and most likely will not rise as much in 2022. The same cannot be said about the prices in the cities adjacent to it. If the average price for houses in Montreal increased by 23% in 2021, then in 2022 prices will continue to rise, but by no more than 1%, analysts say. The rise in condo prices in 2022 will also slow down and amount to 3%. My advice: if you can’t buy a home in Montreal itself, look at what you can count on in the surrounding area.

Canada in general, and Quebec in particular, due to its economic strength and financial stability, will continue to attract many immigrants. Quebec is currently the economic powerhouse of the country thanks to huge investments in its infrastructure and diversified economic structure. Therefore, in 2022, one should not expect a decline in property prices. In addition, many immigrants buy real estate in Montreal without a mortgage, so they will not be hindered by an increase in mortgage interest.

All analysts agree that there will be a large shortage of offered real estate for sale, which cannot but affect the rise in prices. The government is of course trying to slow down the rate of price growth. So, the Bank of Canada has already announced an increase in mortgage interest in 2022 in the hope of slowing down the rise in real estate prices and allowing native Canadians to buy their own homes.

Still have questions? Planning to sell or buy? Call +1-514-999-9260, ask me a question here on the site or write to my email

Prévisions de croissance des prix de l’immobilier à Montréal en 2022.

En 2021, les prix ont continué d’augmenter tant à Montréal qu’ailleurs dans les banlieues. La question de l’abordabilité de l’immobilier est devenue critique dans la région de Montréal, particulièrement pour les jeunes familles qui souhaitent acheter leur propre maison. Ceux qui ne voulaient pas quitter Montréal ont dû acheter des condos et des 2-plex afin de commencer quelque part et d’arrêter de payer « l’hypothèque de quelqu’un d’autre » pour un logement locatif.

Vendre à des prix supérieurs au prix de départ n’est plus surprenant. En conséquence, plus de 50 % des biens immobiliers ont été vendus à un prix supérieur au prix initial. Ceux qui ont acheté une maison, un condo ou un 2-plex il y a 5 ans sont dans une position privilégiée et peuvent se permettre d’aller plus loin en vendant leur maison et en achetant une meilleure.

Mais qu’en est-il de ceux qui n’ont pas acheté de condo ou de maison il y a 5 ans et qui regardent désespérément la hausse des prix, se rendant compte qu’ils doivent payer le double aujourd’hui? Alors, acheter ou attendre?

Les prix à Montréal sont déjà proches de leurs sommets et n’augmenteront probablement pas autant en 2022 qu’ils le font maintenant. On ne peut pas en dire autant des prix dans les villes adjacentes. Si le prix moyen des maisons à Montréal augmentait de 23 % en 2021, les prix continueront d’augmenter en 2022, mais pas plus de 1 %, selon les analystes. La hausse des prix des copropriétés en 2022 ralentira également et s’élèvera à 3 %. Mon conseil : si vous ne pouvez pas acheter une maison à Montréal même, regardez dans les environs.

Le Canada en général, et le Québec en particulier, en raison de sa force économique et de sa stabilité financière, continueront d’attirer de nombreux immigrants. Le Québec est actuellement la puissance économique du pays grâce aux énormes investissements dans ses infrastructures et sa structure économique diversifiée. Ainsi, en 2022, il ne faut pas s’attendre à une baisse des prix de l’immobilier. De plus, des nombreux immigrants achètent un bien immobilier à Montréal sans hypothèque, ils ne seront donc pas gênés par une augmentation des intérêts hypothécaires.

Tous les analystes s’accordent à dire qu’il y aura une grande pénurie de biens immobiliers à vendre, ce qui maintiendra la hausse des prix. Le gouvernement essaie bien sûr de ralentir le taux de croissance des prix. Ainsi, la Banque du Canada a déjà annoncé une augmentation des intérêts hypothécaires en 2022 dans l’espoir de ralentir la hausse des prix de l’immobilier et de permettre aux Canadiens d’acheter leur propre maison.

Vous avez encore des questions? Vous envisagez de vendre ou d’acheter? Appelez-moi +1-514-999-9260, posez-moi une question ici sur le site ou écrivez à mon courriel.

Sommes-nous dans une bulle immobilière à Montréal?

Diminution des transactions immobilières

La demande est toujours aussi forte pour l’immobilier à Montréal. Conséquence, le prix de certaines catégories de propriétés ont augmenté d’environ 20%, selon l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ) Comparativement au mois de novembre 2020, le nombre de transactions résidentielles a chuté de 17%, rapporte la base de données provinciale Centris des courtiers immobiliers, sur laquelle se base l’ACPIQ pour élaborer son rapport. En tant que telles, les inscriptions sur le système de Centris pour les propriétés à vendre ont également connu une baisse en novembre 2021, avec une diminution de 20% comparativement à 2020.

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Des prix toujours en hausse

La hausse des prix médians des propriétés s’est poursuivie en novembre. En comparaison avec le mois de novembre dernier, cela représente une hausse de 21% pour les maisons unifamiliales, de 18% pour les copropriétés et de 15% pour les plex.

Sommes-nous dans une bulle immobilière à Montréal?

Historiquement, il y a eu peu de bulles immobilières au Canada. Est-ce qu’ici le ballon va continuer à se gonfler ou non ? Voici quelques pistes pour y voir plus clair.

UBS:

Basé en Suisse, UBS est la plus grande banque de gestion de fortune dans le monde. Dans son classement mondial des villes avec des bulles immobilières, Toronto est au 2e rang et Vancouver au 6e.

La SCHL/ Société canadienne, hypothèques et de logement :

Pour le deuxième trimestre, Toronto, Hamilton, Ottawa, Montréal, Moncton et Halifax présentaient des degrés de vulnérabilité élevés. Tous ces marchés avaient déjà un degré de vulnérabilité élevé au trimestre précédent, à l’exception de Montréal, où il était auparavant jugé modéré. Les prix des logements montréalais ont fortement augmenté et sont nettement supérieurs au niveau dicté par les facteurs fondamentaux comme le revenu du travail.

APCIQ/ Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec :

bulles

Il y a donc formation d’une bulle immobilière dans la grande région de Montréal, analyse Charles Brant. Cette bulle se caractérise, d’une part, du fait de l’incapacité de la majorité des premiers acheteurs à accéder à la propriété et d’autre part, la vulnérabilité des acheteurs expérimentés à un changement des conditions économiques dans la mesure où ces derniers sont de plus en plus endettés et dépendants de l’appréciation ou, au pire, au maintien de la valeur de leur(s) bien(s) immobilier(s). Nous croyons toutefois que cette situation est moins avancée que dans d’autres marchés canadiens dont la bulle est plus gonflée. Nous pensons que la hausse des taux d’intérêt sera salvatrice dans la mesure où elle parviendra à désamorcer la formation de cette bulle immobilière, évitant un revirement douloureux du marché, mais permettant plutôt la normalisation de ses conditions par certaines corrections de prix dans la région de Montréal et certaines agglomérations périphériques. À l’échelle du Québec, nous ne pouvons pas parler de bulle du marché de l’immobilier dans la mesure où plusieurs marchés connaissent un processus de rattrapage des prix ».

Montrealers leaving the island

The majority of Montrealers who have left the city for the suburbs have been living on the outskirts of the city, according to a report released Thursday by Canada Mortgage and Housing Corporation (CMHC). In general, families living in areas bordering the island of Montreal, such as near the Honore-Mercier Bridge or in the Riviere-des-Prairies neighbourhood, are more likely to move to the surrounding suburbs. Those who live in the more central neighbourhoods tend to stay in the metropolis.

SINGLE-FAMILY HOUSES REMAIN POPULAR

The percentage of Montrealers buying single-family homes has increased over the past six years. From 2015 to 2019, between 22 per cent and 24 per cent of them were already leaving the island to buy a bungalow in the suburbs. This proportion rose to 28.8 per cent in 2020. Interestingly, in July 2020, this percentage jumped to 31 per cent, the quarter after the pandemic began. The number of single-family home transactions rose in most municipalities off the Island of Montreal in that period. On the North Shore, the largest increases were observed in Saint-Eustache, Saint-Jerome, Saint-Lin des Laurentides, L’Assomption and Rosemere, and others. As for the South Shore, the municipalities of Saint-Jean-sur-Richelieu, Longueuil (Vieux-Longueuil and St-Hubert sectors), Beloeil and Sainte-Julie welcomed several families who had previously lived in the metropolis. This wave of new households has probably created additional pressure on prices in a context of very limited supply.

Source : ctvnews.ca

Un jeune sur cinq a acheté une propriété en pleine pandémie au Québec

Une enquête de Royal LePage dévoilée jeudi révèle que 18 % des milléniaux québécois et 28 % des milléniaux montréalais ont acquis un condo, une maison ou un immeuble depuis la mi-mars 2020.

Ce sont surtout les banlieues qui ont profité de l’engouement des 11 derniers mois, les jeunes cherchant une qualité de vie à long terme et n’hésitant plus à s’éloigner du centre, maintenant que le télétravail est devenu une possibilité.

«Les bas taux d’intérêt et la possibilité de travailler de la maison sont actuellement les principaux moteurs de motivation chez les jeunes acheteurs», a expliqué par communiqué Roxanne Jodoin, une courtière immobilière de Royal LePage Privilège, à Saint-Bruno-de-Montarville, en Montérégie.

La tendance à acheter devrait se maintenir chez les milléniaux, 17 % des répondants québécois et 19 % des répondants montréalais ayant indiqué leur souhait de devenir propriétaires d’ici la fin de l’année. Dans cinq ans, les mêmes intentions grimpent respectivement à 69 % et à 68 %.

Source : TVANOUVELLES.CA