«Home staging» – faire ou ne pas faire?

Alors que les délais de vente s’allongent, il est essentiel de présenter son logement sous le meilleur jour. C’est tout l’intérêt du «home staging», une pratique qui se développe.

Cela vous semblerait normal de vendre une belle voiture toute sale ou avec une grosse rayure? Eh bien, une maison ou un appartement, c’est pareil. Le home staging est une technique de mise en valeur d’un logement ou d’une maison pour mieux les vendre. La pratique consiste, entre autres, à désencombrer le logement, à en retirer les éléments de décoration trop personnels et à redonner un coup de fraîcheur aux murs et aux sols.  Il s’agit de neutraliser le logement, de le reconditionner pour que l’acheteur potentiel puisse immédiatement s’y projeter. Le cas de figure classique est celui d’un appartement occupé de longue date par des personnes âgées et qui correspond aujourd’hui au budget de jeunes couples. Pour peu qu’il y ait d’autres offres comparables, les biens trop «typés» trouveront difficilement preneur. Après avoir éliminé tous les éléments de décoration et de mobilier qui surchargent les pièces, les surfaces ont droit à un coup de neuf et les pièces sont parfois réaménagées avec une partie de l’ancien mobilier.

Un coût compris entre 0,5 et 4 % du prix de vente.

S’il s’agit de séduire le futur acheteur, ce n’est pas à n’importe quel prix. Normalement, la fourchette s’étend de 0,5 à 4 % du prix de vente. Les principes sont simples, il suffit d’avoir le temps et le courage de s’y mettre. Un peu d’huile de coude et quelques bras supplémentaires pour désencombrer les pièces. Puis il s’agit de réparer les petits dégâts habituels: robinet qui fuit, fenêtre qui coince, peinture écaillée… Une petite touche de déco sobre et le tour est joué. Parmi les astuces à moindres frais particulièrement appréciées par les acheteurs, il est recommandé de remettre à neuf la robinetterie, de relooker les pièces d’eau, de remplacer les anciens WC par des modèles récents. Et surtout de bien soigner la porte d’entrée, lieu de la première impression.

PRENEZ EN NOTE :  tous mes clients bénéficient de consultations gratuites pour le “HOME STAGING”!

Source : http://www.lefigaro.fr/immobilier/2012/09/28/05002-20120928ARTFIG00506-home-staging-un-bien-a-vendre-ca-se-prepare.php

Maison unifamiliale, copropriété ou plex?

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IMAG0196P1000365L’achat d’une propriété est sans aucun doute l’un des plus importants que vous ferez au cours de votre vie. C’est pourquoi il importe de bien choisir le type de propriété qui vous convient et de faire un choix éclairé.

La maison unifamiliale est de loin la propriété la plus populaire. Les avantages sont multiples : vous pouvez l’aménager comme bon vous semble et vous bénéficiez d’un maximum d’intimité puisque personne d’autre n’habite l’immeuble. Toutefois, l’entretien extérieur demande temps et argent.

La copropriété, qui gagne en popularité, convient bien à ceux qui ont peu de temps à consacrer à l’entretien d’un terrain. Il faut cependant choisir un immeuble dont les propriétaires ont un profil semblable au vôtre, car vous devrez vous entendre avec eux sur plusieurs aspects importants, tels que les travaux de rénovation et l’entretien de l’immeuble. Pensez aussi aux frais d’entretien, que vous devrez assumer comme tous les autres propriétaires de l’immeuble.

Le « plex » est une propriété à revenus de deux, trois, quatre ou cinq logements (duplex, triplex, quadruplex, quintuplex). Ses avantages financiers sont indéniables : la perception du loyer vous aide à payer l’hypothèque, et une partie des frais d’intérêt est déductible d’impôt, car une portion de l’emprunt hypothécaire vous a permis d’acquérir un revenu de placement. Vous pouvez également déduire de vos impôts les sommes investies dans l’entretien des logements de vos locataires. Le plex n’offre toutefois pas la même intimité qu’une maison unifamiliale.

Votre agent immobilier a l’expertise pour vous aider à faire le meilleur choix.

TIGHTER MORTGAGE RULES (TD Economics)

TIGHTER MORTGAGE RULES TO COOL DEBT GROWTH, BUT HIGHER RATES ULTIMATELY REQUIRED

• The Department of Finance recently implemented tighter mortgage insurance rules to help take some of steam out of the Canadian housing market and to curb households from taking on too much debt during a continued low interest rate environment.
• Analysis shows that past regulatory tightening led to a significant permanent drop in housing demand. However, while home prices took an immediate hit following the rule changes, they bounced back within two to three quarters and continued to grow faster than underlying economic fundamentals. The dampening effect on household credit growth was more notable and sustained.
• The changes implemented on July 9th may have more of a bite as they will hit a larger segment of the housing market and lead to a larger deterioration in affordability than past rule changes, particularly for first time homebuyers. Overall we expect the new rules to shave 5 percentage points off sales and 3 percentage points off prices over the rest of 2012 and early 2013 and reduce about 1 percentage point off credit growth.


• However, new guidelines will only go part of the way in unwinding the imbalances developed in the Canadian housing market. As long as interest rates remain at their current low levels, households still have a strong incentive to borrow and the overvaluation in the housing market will persist. Ultimately, interest rate increases by the Bank of Canada are needed to ensure sustainable growth in the Canadian housing market.

 

 

Source : http://www.td.com/document/PDF/economics/special/dp0912_mortgage_rules.pdf

New mortgage rules hit first-time buyers. Maximum amortization period is cut from 30 years to 25.

dumaBuying a first home or taking out a loan against an existing residence will be more difficult for Canadians under new rules announced Thursday, but Finance Minister Jim Flaherty says it’s for their own good.
For the fourth time in as many years, the finance minister moved to tighten the mortgage and lending landscape – changes that mean up to 5% of Canadians who might be considering buying a new home will likely no longer qualify.
This time Flaherty’s cutting the maximum amortization period for government insured homes to 25 years from the current 30 years, and limiting how much homeowners can borrow on the value of their homes to 80% from 85%.
Those are not the only changes the government is making.

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Le ministre des Finances Jim Flaherty resserre les règles hypothécaires

reglesserrageOTTAWA – Il sera plus difficile pour les Canadiens d’acheter une première maison ou d’emprunter contre la valeur de leur propriété, en vertu des nouvelles règles rendues publiques jeudi, mais le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, a affirmé que c’était pour leur bien.
Pour la quatrième fois en autant d’années, le ministre des Finances a agi afin de resserrer les règles hypothécaires — les modifications apportées faisant en sorte que jusqu’à cinq pour cent des Canadiens susceptibles d’envisager d’acheter un nouveau domicile devront probablement renoncer à leur projet.

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