Factors that drive Montreal housing market.

Lower mortgage rates, help for first-time buyers and increased immigration levels are all pushing the housing market upwards.

The most optimistic forecast (or the most pessimistic, if you’re hoping for lower prices) comes from Capital Economics, which in a report last Friday said “momentum is building” in house price growth. If things stay at their current trend, house price growth will be running at an annual rate of 6 per cent by March of next year.

“The rise in the sales-to-new listing ratio suggests that house price inflation will surge,” senior Canada economist Stephen Brown wrote.

The sales-to-new-listing ratio measures how many houses are selling against how many houses are coming on to the market. The higher the ratio, the tighter the market, so the larger the price growth you can expect.

Though it varies from market to market, in general a ratio above 60 per cent suggests price hikes ahead.

sales-to-new listing ratio
CIBC WORLD MARKETS This chart from CIBC shows the sales-to-new-listings ratio by province. At around 70%, Quebec’s housing market is the tightest in the country, while Alberta, Saskatchewan and Newfoundland have ratios low enough to suggest stagnant or falling prices.

The best rates available for a five-year fixed-rate mortgage at the major banks fell to around 2.7 per cent today from 3.5 per cent at the start of this year, Brown said, citing data from RateSpy.com. The lower rates mean Canadian buyers can afford about 10 per cent more on the purchase price of a home than they could a year ago.

Source  – Read full article : www.huffingtonpost.ca.

 

Marché immobilier. 2E TRIMESTRE DE 2018.

Le marché a conservé son dynamisme au deuxième trimestre de 2018 :

• Ainsi, 14 771 propriétés résidentielles ont changé de mains dans l’ensemble de la RMR, soit 4 % de plus que le nombre observé à la même période un an auparavant.
• Cela fait désormais 16 trimestres que les ventes résidentielles ne cessent de croître dans la région.
• La copropriété demeure le segment le plus dynamique avec une hausse de 13 % (5 120), tandis que les ventes de plex (1 332) ont enregistré une timide augmentation de 1 %.
• En revanche, les ventes d’unifamiliales (8 301) ont reculé (-1 %) pour la première fois depuis le deuxième trimestre de 2014.
• Le prix médian a continué de croître pour l’unifamiliale (322 509 $) et la copropriété (253 000 $), avec une hausse de 3 %. Le prix médian des plex de deux à cinq logements (510 000 $) a
également poursuivi sa progression (+7 %).
• À l’instar du trimestre précédent, les secteurs de l’île de Montréal et de Vaudreuil-Soulanges se sont démarqués en affichant les plus fortes hausses du prix médian des unifamiliales (+7 % et +12 % respectivement).
• Ces deux secteurs se sont également distingués par les plus fortes progressions du prix médian des copropriétés, c’est-à-dire de 5 % pour l’île de Montréal et de 6 % pour Vaudreuil-Soulanges.
• En moyenne, un peu plus de 24 000 propriétés résidentielles étaient affichées dans l’ensemble de la RMR sur le système Centris d’avril à juin. Il s’agit d’une diminution de 17 % et du onzième recul trimestriel consécutif à ce chapitre.
• La baisse des inscriptions en vigueur a été particulièrement prononcée pour les unifamiliales (-14 %) et les copropriétés (-22 %). Les plex de deux à cinq logements ont également vu leur offre se tarir, mais dans une moindre mesure, avec une diminution des inscriptions de 6 %. C’est l’île de Montréal qui a enregistré la plus forte contraction de l’offre, soit une diminution de 20 % du nombre de propriétés résidentielles à vendre.
• Les délais de vente moyens ont continué de se raccourcir : en moyenne, il fallait respectivement 73 jours (-11), 95 jours (-14) et 71 jours (-10) pour vendre une unifamiliale, une copropriété et un plex dans l’ensemble de la RMR.

Source : https://www.fciq.ca

Montréal est bien différant du reste du Québec.

L’année 2017 a été exceptionnelle en ce qui concerne les ventes de propriétés immobilières. Le secteur de la copropriété et la grande région de Montréal ont été particulièrement dynamiques. La croissance de l’emploi et celle de la population ont permis de soutenir le marché, malgré les resserrements hypothécaires appliqués à la fin de 2016.

Le contexte est légèrement différent en 2018 avec des restrictions hypothécaires supplémentaires, des hausses de taux d’intérêt et un taux de chômage très bas en début d’année qui limitera la croissance de l’emploi au cours de l’année.

Avec tous ces changements, l’année 2018 débute plutôt au ralenti dans plusieurs secteurs. Par contre, historiquement, le premier trimestre est celui où l’on compte le moins de transactions publiées au Registre foncier du Québec. Il faudra donc attendre encore quelques mois afin de voir quelles seront les tendances exactes cette année.

Bref, le marché immobilier montréalais se porte bien et la croissance des ventes perdure. Par contre, dans bien des régions le portrait est très différent. Les augmentations de taux d’intérêt, les restrictions hypothécaires et une croissance de population plus faible que dans la RMR de Montréal (voire même une baisse de population dans certaines régions) limitent la demande de logements et font donc reculer les ventes.

En ce qui concerne les prix médians pour l’ensemble du Québec, ils continuent de croître grâce, entre autres, à l’augmentation des ventes à Montréal, un marché généralement plus cher. Le prix médian des unifamiliales au Québec s’est établi à 245 000 $ au premier trimestre en hausse de 5 %. Pour les copropriétés, le prix médian a grimpé à 250 000 $ ce qui représente une augmentation de 3 %.

Article complet : http://www.lesaffaires.com/

MARCHÉ IMMOBILIER MONTRÉALAIS – 4E TRIMESTRE 2017

VENTES

• L’année 2017 s’est terminée en beauté, avec une augmentation de 9 % des ventes résidentielles (9 572) au quatrième trimestre.
• Au cumul de l’année, 44 448 ventes ont été conclues, soit le deuxième total en importance de l’histoire de la région montréalaise. Il s’agit d’une croissance de 8 % par rapport à 2016 et d’une troisième hausse annuelle consécutive.
• Toutes les catégories de propriétés ont connu une augmentation des ventes en 2017. La copropriété s’est nettement démarquée, grâce à une progression des ventes de 17 %. Les plex de deux à cinq logements et les maisons unifamiliales ont pour leur part affiché des gains de 6 % et de 3 % respectivement à ce chapitre.
• Tous les secteurs géographiques ont vu leurs ventes croître en 2017 : Vaudreuil-Soulanges (+13 %), l’île de Montréal (+11 %), Saint-Jean-sur-Richelieu (+9 %), Laval (+6 %), la Rive-Sud (+5 %) et la Rive-Nord (+4 %).
• Le haut de gamme a connu une année faste, les ventes d’unifamiliales de plus de 1 000 000 $ ayant crû de 20 %, et celles de copropriétés de plus de 500 000 $, de 42 %

Prix médian

• La croissance des prix s’est nettement accélérée en 2017 : l’augmentation du prix médian des unifamiliales (310 000 $) a été de 7 %, alors que de 2013 à 2016, la hausse n’a été que de 2 % par année. Il s’agit de la plus forte hausse de prix en sept ans.
• Du côté de la copropriété, le prix médian a atteint 247 000 $, soit une progression de 3 %. Encore ici, il s’agit d’une accélération par rapport à la hausse de seulement 1 % observée en 2016.
• En ce qui a trait aux plex, dont le prix médian s’est élevé à 476 000 $, l’augmentation est de 4 % en 2017, une croissance identique à celle enregistrée en 2016.

Inscriptions en vigueur

• Pour une deuxième année consécutive, le nombre de propriétés à vendre s’est replié en 2017 : on en dénombrait (27 635) sur le système Centris®, soit une forte diminution de 13 %.
• C’est pour l’unifamiliale que la baisse de l’offre a été la plus marquée : elle était de l’ordre de 17 %, comparativement à des diminutions de 14 % pour le plex et de 9 % pour la copropriété.
• Sur le plan géographique, ce sont les secteurs de Saint-Jean-sur-Richelieu (-18 %) et de l’île de Montréal (-17 %) qui ont accusé les plus fortes baisses.

Conditions du marché

• De manière générale, 2017 se termine dans des conditions du marché nettement à l’avantage des vendeurs pour l’unifamiliale et les plex. La rareté de l’offre d’unifamiliales par rapport à la demande est indéniable sur l’île de Montréal, où le nombre de mois d’inventaire est légèrement inférieur à 5.
• Pour la copropriété, le portrait diffère puisque, globalement, les conditions du marché sont équilibrées. Néanmoins, de plus en plus de secteurs centraux confèrent désormais un avantage aux vendeurs lors de la négociation.

Source : http://www.fciq.ca

Lire le rapport complet : http://www.fciq.ca/pdf/bar/201704-bar-mtl.pdf

English version : http://www.fciq.ca/pdf/bar/201704-bar-mtl-en.pdf

Montreal Real Estate market – buy now or risk to be late.

The recent article in Montreal Gazette confirm once again what I am constantly saying to my clients : buy now or you will miss your chance. Year after year Montreal home ownership became less and less affordable.

Montreal’s real estate market is about to become a game of musical chairs, and anybody who doesn’t get a seat soon could be left standing, permanently.

An average person with average income can still entertain thoughts of buying a house downtown. The slow but steady increases in prices – two, three, four per cent – can act like the proverbial slowly heating water the frog doesn’t know is about to boil. But if you’re renting now, and figure you’ll buy a house someday when that next promotion comes through or the baby’s born, it might be too late.

All the signs of a market on the brink of unaffordability are there. Worries about a saturated condo market sagging in 2015 turned around sharply in 2016. Montreal registered the lowest unemployment rate in 30 years last December, and immigration levels are skyrocketing, with the first six months of 2016 – the latest figures available – outstripping all of 2015.

And foreign investors are almost certainly already on their way to the next undervalued, untapped real estate market now that Ontario has imposed a 15 per cent tax on foreign buyers in Toronto as B.C. did for Metro Vancouver. More money drives prices up. So does more people. Put them both together in a city with the obvious and perennial attractions of Montreal, and it might spell the end of the affordable house on the island.

By BERT ARCHER, THE MONTREAL GAZETTE

Read full article : http://montrealgazette.com/