Autumn news of the Montreal real estate market

I finally got numbers for real estate sales in October 2022, so I can look at what is happening in the Montreal real estate market and the surrounding area.
House prices have been dropping, as they usually do in the autumn, after the end of the spring and summer home buying season.
However, the market is still in favour of the sellers. Unfortunately, the choice of good houses in good areas of Montreal and on the South Shore (Longueuil, St-Hubert, St-Bruno, etc) remains poor. Detached houses no older than 30 years, are sold in Longueuil for more than $600000, in Montreal – $800000 and more.
Compared to October last year, prices for single-family houses in Quebec have increased by 9%, and for 2-plex and 3-plex by 21%. But this is already lower than prices were this spring.
Prices began to decline for “illiquid housing markets”, i.e. badly located or in need of major repairs. Such houses now “hang” and if someone wants to make renovations to his style, he can bargain and buy such a house.
At the present, the buyers have the chance to buy a new, more spacious house by selling the existing one.  In the spring, it was impossible to do this because there were multiple offers on every house, with 20 or 30 buyers for one house.

What to expect in November and December?

November and December are historically 2 of the 3 best months to buy a home if you want a deal.
Economists predict that the Bank of Canada will raise its interest rate again this year before interest rates stabilize. If the Canadian economy falls into recession, we could see mortgage rates drop starting in late 2023.
Of course, life does not stop and, as always, in the spring, a revival in the real estate market will begin. Therefore, buyers would be wise to obtain a pre-approval letter and lock in today’s mortgage rate for 90 days, then attempt to buy a house or condo in January, when prices will be lowered.
I wish to remind you that under the new law of 2022, the buyer is required to have their own real estate agent. The seller’s realtor is not authorized to represent the interests of the buyer and the seller at the same time.
Some proverbs give good advice, like “Luck is what happens when preparation meets opportunity.”
Please contact me, and I will be happy to help you become the owner of a new house or condo.

Prévisions de croissance des prix de l’immobilier à Montréal en 2022.

En 2021, les prix ont continué d’augmenter tant à Montréal qu’ailleurs dans les banlieues. La question de l’abordabilité de l’immobilier est devenue critique dans la région de Montréal, particulièrement pour les jeunes familles qui souhaitent acheter leur propre maison. Ceux qui ne voulaient pas quitter Montréal ont dû acheter des condos et des 2-plex afin de commencer quelque part et d’arrêter de payer « l’hypothèque de quelqu’un d’autre » pour un logement locatif.

Vendre à des prix supérieurs au prix de départ n’est plus surprenant. En conséquence, plus de 50 % des biens immobiliers ont été vendus à un prix supérieur au prix initial. Ceux qui ont acheté une maison, un condo ou un 2-plex il y a 5 ans sont dans une position privilégiée et peuvent se permettre d’aller plus loin en vendant leur maison et en achetant une meilleure.

Mais qu’en est-il de ceux qui n’ont pas acheté de condo ou de maison il y a 5 ans et qui regardent désespérément la hausse des prix, se rendant compte qu’ils doivent payer le double aujourd’hui? Alors, acheter ou attendre?

Les prix à Montréal sont déjà proches de leurs sommets et n’augmenteront probablement pas autant en 2022 qu’ils le font maintenant. On ne peut pas en dire autant des prix dans les villes adjacentes. Si le prix moyen des maisons à Montréal augmentait de 23 % en 2021, les prix continueront d’augmenter en 2022, mais pas plus de 1 %, selon les analystes. La hausse des prix des copropriétés en 2022 ralentira également et s’élèvera à 3 %. Mon conseil : si vous ne pouvez pas acheter une maison à Montréal même, regardez dans les environs.

Le Canada en général, et le Québec en particulier, en raison de sa force économique et de sa stabilité financière, continueront d’attirer de nombreux immigrants. Le Québec est actuellement la puissance économique du pays grâce aux énormes investissements dans ses infrastructures et sa structure économique diversifiée. Ainsi, en 2022, il ne faut pas s’attendre à une baisse des prix de l’immobilier. De plus, des nombreux immigrants achètent un bien immobilier à Montréal sans hypothèque, ils ne seront donc pas gênés par une augmentation des intérêts hypothécaires.

Tous les analystes s’accordent à dire qu’il y aura une grande pénurie de biens immobiliers à vendre, ce qui maintiendra la hausse des prix. Le gouvernement essaie bien sûr de ralentir le taux de croissance des prix. Ainsi, la Banque du Canada a déjà annoncé une augmentation des intérêts hypothécaires en 2022 dans l’espoir de ralentir la hausse des prix de l’immobilier et de permettre aux Canadiens d’acheter leur propre maison.

Vous avez encore des questions? Vous envisagez de vendre ou d’acheter? Appelez-moi +1-514-999-9260, posez-moi une question ici sur le site ou écrivez à mon courriel.

Sommes-nous dans une bulle immobilière à Montréal?

Diminution des transactions immobilières

La demande est toujours aussi forte pour l’immobilier à Montréal. Conséquence, le prix de certaines catégories de propriétés ont augmenté d’environ 20%, selon l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ) Comparativement au mois de novembre 2020, le nombre de transactions résidentielles a chuté de 17%, rapporte la base de données provinciale Centris des courtiers immobiliers, sur laquelle se base l’ACPIQ pour élaborer son rapport. En tant que telles, les inscriptions sur le système de Centris pour les propriétés à vendre ont également connu une baisse en novembre 2021, avec une diminution de 20% comparativement à 2020.

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Des prix toujours en hausse

La hausse des prix médians des propriétés s’est poursuivie en novembre. En comparaison avec le mois de novembre dernier, cela représente une hausse de 21% pour les maisons unifamiliales, de 18% pour les copropriétés et de 15% pour les plex.

Sommes-nous dans une bulle immobilière à Montréal?

Historiquement, il y a eu peu de bulles immobilières au Canada. Est-ce qu’ici le ballon va continuer à se gonfler ou non ? Voici quelques pistes pour y voir plus clair.

UBS:

Basé en Suisse, UBS est la plus grande banque de gestion de fortune dans le monde. Dans son classement mondial des villes avec des bulles immobilières, Toronto est au 2e rang et Vancouver au 6e.

La SCHL/ Société canadienne, hypothèques et de logement :

Pour le deuxième trimestre, Toronto, Hamilton, Ottawa, Montréal, Moncton et Halifax présentaient des degrés de vulnérabilité élevés. Tous ces marchés avaient déjà un degré de vulnérabilité élevé au trimestre précédent, à l’exception de Montréal, où il était auparavant jugé modéré. Les prix des logements montréalais ont fortement augmenté et sont nettement supérieurs au niveau dicté par les facteurs fondamentaux comme le revenu du travail.

APCIQ/ Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec :

bulles

Il y a donc formation d’une bulle immobilière dans la grande région de Montréal, analyse Charles Brant. Cette bulle se caractérise, d’une part, du fait de l’incapacité de la majorité des premiers acheteurs à accéder à la propriété et d’autre part, la vulnérabilité des acheteurs expérimentés à un changement des conditions économiques dans la mesure où ces derniers sont de plus en plus endettés et dépendants de l’appréciation ou, au pire, au maintien de la valeur de leur(s) bien(s) immobilier(s). Nous croyons toutefois que cette situation est moins avancée que dans d’autres marchés canadiens dont la bulle est plus gonflée. Nous pensons que la hausse des taux d’intérêt sera salvatrice dans la mesure où elle parviendra à désamorcer la formation de cette bulle immobilière, évitant un revirement douloureux du marché, mais permettant plutôt la normalisation de ses conditions par certaines corrections de prix dans la région de Montréal et certaines agglomérations périphériques. À l’échelle du Québec, nous ne pouvons pas parler de bulle du marché de l’immobilier dans la mesure où plusieurs marchés connaissent un processus de rattrapage des prix ».

Un jeune sur cinq a acheté une propriété en pleine pandémie au Québec

Une enquête de Royal LePage dévoilée jeudi révèle que 18 % des milléniaux québécois et 28 % des milléniaux montréalais ont acquis un condo, une maison ou un immeuble depuis la mi-mars 2020.

Ce sont surtout les banlieues qui ont profité de l’engouement des 11 derniers mois, les jeunes cherchant une qualité de vie à long terme et n’hésitant plus à s’éloigner du centre, maintenant que le télétravail est devenu une possibilité.

«Les bas taux d’intérêt et la possibilité de travailler de la maison sont actuellement les principaux moteurs de motivation chez les jeunes acheteurs», a expliqué par communiqué Roxanne Jodoin, une courtière immobilière de Royal LePage Privilège, à Saint-Bruno-de-Montarville, en Montérégie.

La tendance à acheter devrait se maintenir chez les milléniaux, 17 % des répondants québécois et 19 % des répondants montréalais ayant indiqué leur souhait de devenir propriétaires d’ici la fin de l’année. Dans cinq ans, les mêmes intentions grimpent respectivement à 69 % et à 68 %.

Source : TVANOUVELLES.CA

Immobilier à Montréal – qu’attendre de 2020?

2020 a commencé par une forte hausse des prix de l’immobilier à Montréal. Les acheteurs qui envisageaient d’acheter un condo ou une maison cette année font sans succès des offres d’achat pour les inscriptions nouvellement entrés sur le marché, mais ne peuvent rien acheter, car leurs offres sont toujours inférieures aux autres. 

Avant le Nouvel An, au mois de décembre 2019, mes clients et moi, nous avons visité un condo à Verdun. La jeune famille voulait acheter un condo avec 2 chambres à coucher jusqu’à 350 000 $, et ce condo sur Boul. LaSalle valait 349 000$. 

Cela ne veut pas dire que ce condo était l’acquisition de leurs rêves: à côté de l’autoroute 15, dans une rue bruyante, sans stationnement et pas de casier non plus. Les propriétaires de ce condo ont fait un design intéressant, donc mes clients ont pris la décision de faire l’offre. Nous avons décidé de négocier de 9000$ et offrir 340 000 $. Le vendeur a reçu plusieurs offres et en conséquence, le condo a été vendu à 401 000$, soit 52 000$ de plus que le prix demandé. 

Ayant compris la situation du marché immobilier à Montréal, mes clients sont allés voir leur courtier hypothécaire à la banque, et ils ont obtenu une préapprobation pour acheter un condo jusqu’à 420 000$. Au mois de janvier 2020, un autre appartement est apparu à Verdun: 252, rue Gordon pour 399 000$. 

En termes de paramètres, il était bien meilleur que le précédent: de plafonds hauts et une place dans le parking souterrain. Lors de la visite, il est immédiatement apparu que non seulement mes clients l’ont aimé: des acheteurs potentiels s’entassés comme des sardines en boite dans un appartement de 760 pc. Cette fois-là, mes clients ont fait une offre en proposant 30 000 $ de plus! Et encore une fois, ils ont perdu la vente aux enchères. Parmi les 15 offres reçues, le propriétaire a choisi une offre de 470 000$ soit 71 000$ de plus que ce qu’il avait demandé. Cet appartement a été vendu le premier jour!  

Qu’est-il advenu de la vente d’appartements à Montréal? Pourquoi le même appartement qui était à vendre sans succès pendant 6 mois au début de 2019 pour 300 000$ et retiré du marché, a été vendu au mois de janvier 2020 pour 370 000$ le premier jour? Et il est probable que dans un mois, ce condo coûterait encore 20 000$ de plus. Les prix n’augmentent même pas chaque mois, mais chaque jour! 

Qu’attendre de 2020? 

« Les acheteurs étrangers sont plus nombreux. L’immigration augmente », a déclaré Dominic Saint-Pierre, vice-président et directeur général de Royal LePage pour le Québec.

Je reçois constamment des appels d’investisseurs de l’Ontario qui veulent acheter un condo au centre de Montréal et le louer ensuite. Ayant appris qu’on peut acheter un appartement dans le centre de Montréal pour 450 000$, ils viennent le week-end pour choisir un appartement et faire UNE offre sur-le-champ. En décembre, deux couples de Toronto ont acheté des maisons à Longueuil pour y vivre et travailler à Montréal. Les prix pour les maisons similaires à Toronto sont 2 fois plus élevé qu’à Montréal et ayant acheté une maison à Longueuil, ils paieront pour leur belle et grande maison autant qu’ils auraient payé pour une petite maison dans la banlieue de Toronto. 

Les loyers des logements locatifs à Montréal ont également fortement augmenté. Un studio au centre de Montréal est loué pour 1200$, et un appartement meublé avec 1 chambre – 1600$. Bien sûr, si vous pouvez vous permettre d’acheter votre propre maison, il faut s’en profiter. Peut-être que pour certaines jeunes familles, c’est leur dernière chance… 

Le problème est que l’offre de maisons et de condo à vendre a considérablement diminué. Voyant une telle augmentation rapide des prix, certains vendeurs qui n’avaient pas pu vendre leur propriété au cours des années précédentes ont décidé de reporter l’achat et d’attendre. 

Certains acheteurs ont décidé d’alléger leur tâche et d’acheter 2-plex. Pour la mise de fonds ils peuvent donner les mêmes 5% que pour l’achat d’une maison familiale ou d’un condo, et le revenu du deuxième appartement aidera à payer l’hypothèque de la maison. 

Mais dans la situation actuelle, l’achat d’un 2-plex n’est pas non plus la solution facile. Ils sont également vendus en quelques heures et plus chers que le prix d’origine. 

Par exemple, dès qu’un 2-plex sur la rue Rolland, Verdun a été mis à vendre, il y a eu 240 visites pendant le samedi et le dimanche! Il a été vendu pour 735 000$ au lieu des 599 000$ d’origine, soit 136 000$ plus cher. 

Certains de mes clients, qui envisageaient d’acheter un appartement de 2 chambres en décembre jusqu’à 350 000 $ à Rosemont, se sont rendu compte en janvier qu’ils ne suivaient pas les prix et ont commencé à chercher un condo avec une chambre à coucher. Ils ont fait une offre pour l’appartement 5661, Av. De Chateaubriand, Rosemont à 349 000$. 

Cet appartement de 59 mètres carrés, sans garage, mais à côté du métro Rosemont, a été vendu pour 380 000$. 

Il y a 6 ans, une situation similaire était à Toronto. Les prix de l’immobilier sont montés en flèche et ont atteint leur pic de croissance en 2017. Le gouvernement a imposé une taxe sur l’achat de biens immobiliers à Toronto et à Vancouver pour les étrangers, ce qui a contribué à ralentir la hausse des prix. Le résultat : la hausse des prix a été ralenti, mais les prix continuent de croître – en janvier 2020 ils ont augmenté de 7,3% par rapport à janvier 2019. 

En 2014 à Toronto les prix ont d’abord augmenté au centre-ville, puis la vague s’est dirigée vers la périphérie, et lorsque les prix à Toronto sont devenus trop élevés pour les acheteurs, ils ont commencé à acheter des biens immobiliers dans les environs de Toronto. 

La même situation est observée à Montréal. Les acheteurs, qui envisageaient l’année passée d’acheter une maison à Montréal pour 400 000$, maintenant sont obligés de chercher pour une maison à Vaudreil-Dorion ou Blainville, à 45 km du centre-ville de Montréal et dont ils n’avaient aucune idée il y a 3 ans. 

La Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL) croit que la croissance du marché sera encore plus active en 2020: « Les niveaux d’activité resteront élevés », a déclaré Lucas Yasmine-Tucci, économiste de la SCHL. 

Dans cette situation difficile je souhaite aux acheteurs d’immobilier de s’installer dans leur propre maison en 2020 et de prendre un bon départ dans l’investissement immobilier! 

Pour obtenir une assistance qualifiée dans l’achat et la vente de l’immobilier, contactez Olga Ouspenski, un courtier immobilier avec 20 ans d’expérience. 514-999-9260